Les perdants de demain
Publié le 22 septembre 2020
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Depuis la fin du confinement,on n'arrête pas de parler du "monde d'avant".
Comme si un virus, à lui tout seul, pouvait modifier notre quotidien.
Pourtant chaque année nous apporte son lot de nouveauté et, sans tralala, on enterre les vieilles habitudes.
Plus personne aujourd'hui n'écoute de la musique ou regarde des films sur des cassettes.
Qui n'a pas un jour" rembobiné la cassette"?. Souvenez-vous quand le magnétoscope s'affolait et parfois bloquait. Et l'autoradio de la voiture qui "mangeait" la bande de la K7.Il arrivait qu'on la retrouve déroulée au bord de la route.
Terminé de dire: "On passe au vidéo-club et on se fait une soirée film".
Et qui n'a jamais donné un rancard devant la cabine téléphonique?
En fait, les disparitions sont plus nombreuses que les naissances dans le monde sans pitié des nouvelles technologies.
Sans coronavirus ou pandémie, on a vu la fin prématurée du minitel, de Wanadoo, des ordis comme Amstrad, ce qui était une référence absolue dans le virage obligé de la modernité. Tout ça n'existe plus.
Comme quoi, les gagnants d'aujourd'hui, seront, à coup sûr, les perdants de demain.
Comme si un virus, à lui tout seul, pouvait modifier notre quotidien.
Pourtant chaque année nous apporte son lot de nouveauté et, sans tralala, on enterre les vieilles habitudes.
Plus personne aujourd'hui n'écoute de la musique ou regarde des films sur des cassettes.
Qui n'a pas un jour" rembobiné la cassette"?. Souvenez-vous quand le magnétoscope s'affolait et parfois bloquait. Et l'autoradio de la voiture qui "mangeait" la bande de la K7.Il arrivait qu'on la retrouve déroulée au bord de la route.
Terminé de dire: "On passe au vidéo-club et on se fait une soirée film".
Et qui n'a jamais donné un rancard devant la cabine téléphonique?
En fait, les disparitions sont plus nombreuses que les naissances dans le monde sans pitié des nouvelles technologies.
Sans coronavirus ou pandémie, on a vu la fin prématurée du minitel, de Wanadoo, des ordis comme Amstrad, ce qui était une référence absolue dans le virage obligé de la modernité. Tout ça n'existe plus.
Comme quoi, les gagnants d'aujourd'hui, seront, à coup sûr, les perdants de demain.
Ecrit par l'Ordissinaute Monique Ruiz - 1 Voir son profil avec toutes ses créations
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