Morning du 30 mai, 3400 MILLIARDS DE DOLLARS
Publié le 30 mai 2025
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Le titan américain des puces dédiées à l’IA a encore frappé fort. Très fort.
Malgré les restrictions de Trump sur ses ventes en Chine, ses résultats trimestriels sont stratosphériques.
Nvidia, c’est bien plus qu’une entreprise de semi-conducteurs.
C’est le bras armé de la révolution IA et le symbole de la domination technologique américaine.
Par Dorian Abadie
Responsable Bourse Privée
Meilleurtaux Placement
SKY'S THE LIMIT
Chaque trimestre, les investisseurs retiennent leur souffle avant la publication de ses résultats.
Des résultats devenus aussi importants pour la Bourse que ceux de l’emploi ou de l’inflation US.
Les superlatifs manquent, c’est désormais une habitude. Jugez-en par vous-même.
Un chiffre d’affaires trimestriel de 44,1 milliards de dollars, en hausse de 69% sur un an.
Pour un bénéfice de 18,8 milliards (+26%).
C’est plus qu’attendu par Wall Street.
Grâce à la ruée mondiale vers les infrastructures d’intelligence artificielle, Nvidia table sur 45 milliards de chiffre d’affaires pour le deuxième trimestre.
LA GUERRE TECHNOLOGIQUE
Avec les règles du jeu imposées par Trump, c’est d’autant plus impressionnant.
Au nom de la sécurité nationale, Nvidia ne peut plus exporter vers la Chine toutes ses puces.
La bataille pour le leadership mondial de l’IA pèse en effet sur les résultats du groupe, avec un manque à gagner de 8 milliards en Chine.
C’est le prix à payer pour que les États-Unis préservent leur avancée technologique.
L’administration Biden avait également restreint les exportations.
La puissance de calcul des puces américaines ne doit pas aider Pékin à développer des technologies de pointe, des superordinateurs et des applications militaires.
NVIDIA “LIGHT”
Jensen Huang, le patron du groupe, a critiqué la stratégie de Washington lors de la présentation des résultats.
Il estime que les sanctions ne freinent pas la Chine. Elles la renforcent.
Pire, croire que la Chine ne peut pas fabriquer ses propres puces est une illusion.
Ce n’est qu’une question de temps pour que la concurrence locale trouve une parade.
De quoi affaiblir...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Malgré les restrictions de Trump sur ses ventes en Chine, ses résultats trimestriels sont stratosphériques.
Nvidia, c’est bien plus qu’une entreprise de semi-conducteurs.
C’est le bras armé de la révolution IA et le symbole de la domination technologique américaine.
Par Dorian Abadie
Responsable Bourse Privée
Meilleurtaux Placement
SKY'S THE LIMIT
Chaque trimestre, les investisseurs retiennent leur souffle avant la publication de ses résultats.
Des résultats devenus aussi importants pour la Bourse que ceux de l’emploi ou de l’inflation US.
Les superlatifs manquent, c’est désormais une habitude. Jugez-en par vous-même.
Un chiffre d’affaires trimestriel de 44,1 milliards de dollars, en hausse de 69% sur un an.
Pour un bénéfice de 18,8 milliards (+26%).
C’est plus qu’attendu par Wall Street.
Grâce à la ruée mondiale vers les infrastructures d’intelligence artificielle, Nvidia table sur 45 milliards de chiffre d’affaires pour le deuxième trimestre.
LA GUERRE TECHNOLOGIQUE
Avec les règles du jeu imposées par Trump, c’est d’autant plus impressionnant.
Au nom de la sécurité nationale, Nvidia ne peut plus exporter vers la Chine toutes ses puces.
La bataille pour le leadership mondial de l’IA pèse en effet sur les résultats du groupe, avec un manque à gagner de 8 milliards en Chine.
C’est le prix à payer pour que les États-Unis préservent leur avancée technologique.
L’administration Biden avait également restreint les exportations.
La puissance de calcul des puces américaines ne doit pas aider Pékin à développer des technologies de pointe, des superordinateurs et des applications militaires.
NVIDIA “LIGHT”
Jensen Huang, le patron du groupe, a critiqué la stratégie de Washington lors de la présentation des résultats.
Il estime que les sanctions ne freinent pas la Chine. Elles la renforcent.
Pire, croire que la Chine ne peut pas fabriquer ses propres puces est une illusion.
Ce n’est qu’une question de temps pour que la concurrence locale trouve une parade.
De quoi affaiblir...
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