Devinette

Devinette n°468 🎬 Je suis Jacqueline François ! 🌟

Bravo à tous les participants !


  • Née en 1922 dans l’ombre de Paris, j’ai rendu mon dernier souffle en 2009, près des lieux de mon enfance.
  • Aînée d’une famille rigoriste, j’ai guidé quatre frères et sœurs sous l’aile d’une éducation stricte.
  • Avant les micros, mes doigts ont caressé les touches noires et blanches d’un piano.
  • Pendant la guerre, j’ai joué des rôles anonymes au cinéma… prélude à ma véritable vocation.
  • Mon nom de scène, emprunté au masculin, cachait une voix cristalline et envoûtante.
  • Mon premier tube, écrit par une journaliste célèbre, s’intitulait Ça n’était pas original.
  • Un guitariste, futur mari d’une légende du music-hall, a cru en moi dès le premier accord.
  • J’ai troqué les chansons réalistes pour des mélodies jazz, teintées de douceur printanière.
  • Avec un compositeur génial, j’ai transformé It Might As Well Be Spring en hymne français.
  • En 1948, un Grand Prix du Disque a scellé mon entrée dans la légende.
  • Je suis devenue Mademoiselle d’une ville mythique… et le monde entier a fredonné.
  • J’ai été l’une des premières à interpréter les mots d’un jeune auteur nommé Charles.
  • Mon timbre a conquis New York, séduit Moscou et fait vibrer Rio.
  • J’ai enregistré The Sweet Language of Love… l’amour en anglais, avec grâce.
  • En hommage à une muse brésilienne, j’ai repris The Girl from Ipanema.
  • Épouse d’un compositeur, mère d’un François, ma vie fut une partition familiale.
  • Un pianiste prodige m’a accompagnée vers de nouveaux horizons musicaux.
  • J’ai changé de maison de disques, emportant avec moi mon élégance légendaire.
  • Robes sophistiquées, orchestres grandioses… Mes concerts étaient des fêtes pour les yeux et les oreilles.
  • En 2009, la scène s’est tue, mais mes chansons murmurent encore Printemps.
  • Je suis ?