Morning du 12 mai, Encore des deals, toujours des deals, rien que des deals
Publié le 12 mai 2025
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Il veut faire des deals.
On vient d'en avoir l'illustration ce week-end.
Des deals pour les deals.
Vite, très vite, parfois trop vite.
Des deals parfois surprenants où il privilégie "l'ennemi" à l'allié.
Des deals parfois bancals et dont l'avantage pour les États-Unis n'est pas évident.
Mais des deals.
EN QUELQUES JOURS
Trump a obtenu ou avancé sur des deals.
Politiques.
Et économiques.
Au rythme de un ou deux deals par jour.
Avec une patience limitée.
Si les protagonistes n'acceptent pas rapidement un deal, quel qu'il soit, il s'impatiente, menace ou emploie des mesures de rétorsion.
EN QUELQUES JOURS
Il a fait un deal avec les rebelles Houthis après les avoir bombardés pendant des semaines, grâce notamment à l'ex ennemi désigné, l'Iran.
Il a imposé un cessez-le-feu à l'Inde et au Pakistan qui ne savaient pas comment sortir de cette spirale guerrière.
Il a obtenu la libération du dernier otage américano israélien en privilégiant le canal du Qatar (qui va d'ailleurs lui offrir son avion Air Force One car Boeing traîne) plutôt que celui de l'allié israélien sur lequel il va mettre une pression énorme pour un cessez-le-feu.
Il a obligé ce matin Zelensky à accepter la réunion de négociation que la Russie a proposée pour jeudi en Turquie.
Il avance sur un deal sur le nucléaire avec l'Iran.
Il va en Arabie saoudite pour obtenir des investissements massifs, des achats d'armes et la paix dans la région à commencer par un deal sur Gaza.
VOILA POUR LES DEALS POLITIQUES
Quels enseignements peut-on en tirer ?
- Il déteste les guerres et les conflits qui sont "bad for business" et est prêt pour obtenir des cessez-le-feu à privilégier ses ex-ennemis par rapport à ses amis et à accepter des sacrifices.
- Plus aucun (ex) allié des États-Unis, de l'Europe à l'Ukraine en passant par Israël ne peut compter sur lui, et ce sera lourd de conséquences pour l'avenir.
- Les États-Unis reprennent leur tradition fortement isolationniste : ce n'est pas America first seulement, c'est America only.
LES DEALS ECONOMIQUES
- Il a dealé sur les droits de douane avec la Grande-Bretagne. D'autres deals devraient suivre dans les jours...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
On vient d'en avoir l'illustration ce week-end.
Des deals pour les deals.
Vite, très vite, parfois trop vite.
Des deals parfois surprenants où il privilégie "l'ennemi" à l'allié.
Des deals parfois bancals et dont l'avantage pour les États-Unis n'est pas évident.
Mais des deals.
EN QUELQUES JOURS
Trump a obtenu ou avancé sur des deals.
Politiques.
Et économiques.
Au rythme de un ou deux deals par jour.
Avec une patience limitée.
Si les protagonistes n'acceptent pas rapidement un deal, quel qu'il soit, il s'impatiente, menace ou emploie des mesures de rétorsion.
EN QUELQUES JOURS
Il a fait un deal avec les rebelles Houthis après les avoir bombardés pendant des semaines, grâce notamment à l'ex ennemi désigné, l'Iran.
Il a imposé un cessez-le-feu à l'Inde et au Pakistan qui ne savaient pas comment sortir de cette spirale guerrière.
Il a obtenu la libération du dernier otage américano israélien en privilégiant le canal du Qatar (qui va d'ailleurs lui offrir son avion Air Force One car Boeing traîne) plutôt que celui de l'allié israélien sur lequel il va mettre une pression énorme pour un cessez-le-feu.
Il a obligé ce matin Zelensky à accepter la réunion de négociation que la Russie a proposée pour jeudi en Turquie.
Il avance sur un deal sur le nucléaire avec l'Iran.
Il va en Arabie saoudite pour obtenir des investissements massifs, des achats d'armes et la paix dans la région à commencer par un deal sur Gaza.
VOILA POUR LES DEALS POLITIQUES
Quels enseignements peut-on en tirer ?
- Il déteste les guerres et les conflits qui sont "bad for business" et est prêt pour obtenir des cessez-le-feu à privilégier ses ex-ennemis par rapport à ses amis et à accepter des sacrifices.
- Plus aucun (ex) allié des États-Unis, de l'Europe à l'Ukraine en passant par Israël ne peut compter sur lui, et ce sera lourd de conséquences pour l'avenir.
- Les États-Unis reprennent leur tradition fortement isolationniste : ce n'est pas America first seulement, c'est America only.
LES DEALS ECONOMIQUES
- Il a dealé sur les droits de douane avec la Grande-Bretagne. D'autres deals devraient suivre dans les jours...
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