Morning du 9 mai, Habemus un premier deal
Publié le 9 mai 2025
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La première à signer un deal avec les États-Unis sur les droits de douane.
Le début d'une longue série qui se clôturera dans quelques mois par un deal avec la Chine.
Grâce à ce deal, on va connaître l'esprit des exigences américaines et la teneur des prochains deals.
Explications.
LA GRANDE-BRETAGNE
a donc accepté le deal américain.
Le premier deal depuis le "Liberation Day" de Trump.
Et comme nous l'avions anticipé et annoncé ici, un taux de base de 10% sur les droits de douane.
Pour la plupart des biens.
Et l'abandon des droits de douane supplémentaires de 25% sur les voitures et l'acier, considérés comme punitifs par la Grande-Bretagne.
POUR L'ACIER
et l'aluminium, il n'y aura pas du tout de droits de douane.
Pour les voitures, les 100 000 premières seront taxées à 10%.
En échange la Grande-Bretagne va notamment supprimer les droits de douane sur ses exportations d'éthanol et faciliter les exportations américaines de produits agricoles.
TRUMP ET STARMER
ont multiplié les déclarations décrivant un deal "historique".
Un deal "complet", un deal qui illustre la proximité entre les deux pays.
On n'a pas encore tous les détails du deal.
Ils vont être publiés dans les jours qui viennent.
Mais on comprend parfaitement l'esprit des deals que les États-Unis vont faire avec tous les pays.
L'ESPRIT
- Un taux de base d'environ 10% pour la grande majorité des produits, jusqu'à 20% pour certains pays et certains produits.
- Une exemption pour les importations stratégiques ou essentielles.
- L'engagement des pays à augmenter leurs importations de produits agricoles et de produits énergétiques et à limiter leurs poursuites contre les géants de la tech américaine.
C'était notre scénario central.
ET MAINTENANT ?
Le rythme des deals va s'accélérer dans les semaines qui viennent.
À commencer par le Japon.
Et par tous les pays, comme le Vietnam ou encore le Bangladesh, qui n'ont aucune marge de manoeuvre.
Puis l'Union européenne.
Puis, plus tard, la Chine.
CE PREMIER DEAL
a fait souffler un petit vent d'optimisme sur les marchés.
A PART CA?
QUOI DE NEUF?
HABEMUS PAPAM
Léon XIV.
Le premier...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Le début d'une longue série qui se clôturera dans quelques mois par un deal avec la Chine.
Grâce à ce deal, on va connaître l'esprit des exigences américaines et la teneur des prochains deals.
Explications.
LA GRANDE-BRETAGNE
a donc accepté le deal américain.
Le premier deal depuis le "Liberation Day" de Trump.
Et comme nous l'avions anticipé et annoncé ici, un taux de base de 10% sur les droits de douane.
Pour la plupart des biens.
Et l'abandon des droits de douane supplémentaires de 25% sur les voitures et l'acier, considérés comme punitifs par la Grande-Bretagne.
POUR L'ACIER
et l'aluminium, il n'y aura pas du tout de droits de douane.
Pour les voitures, les 100 000 premières seront taxées à 10%.
En échange la Grande-Bretagne va notamment supprimer les droits de douane sur ses exportations d'éthanol et faciliter les exportations américaines de produits agricoles.
TRUMP ET STARMER
ont multiplié les déclarations décrivant un deal "historique".
Un deal "complet", un deal qui illustre la proximité entre les deux pays.
On n'a pas encore tous les détails du deal.
Ils vont être publiés dans les jours qui viennent.
Mais on comprend parfaitement l'esprit des deals que les États-Unis vont faire avec tous les pays.
L'ESPRIT
- Un taux de base d'environ 10% pour la grande majorité des produits, jusqu'à 20% pour certains pays et certains produits.
- Une exemption pour les importations stratégiques ou essentielles.
- L'engagement des pays à augmenter leurs importations de produits agricoles et de produits énergétiques et à limiter leurs poursuites contre les géants de la tech américaine.
C'était notre scénario central.
ET MAINTENANT ?
Le rythme des deals va s'accélérer dans les semaines qui viennent.
À commencer par le Japon.
Et par tous les pays, comme le Vietnam ou encore le Bangladesh, qui n'ont aucune marge de manoeuvre.
Puis l'Union européenne.
Puis, plus tard, la Chine.
CE PREMIER DEAL
a fait souffler un petit vent d'optimisme sur les marchés.
A PART CA?
QUOI DE NEUF?
HABEMUS PAPAM
Léon XIV.
Le premier...
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